X- Le grand frisé

  Ce chapitre est tout entier organisé autour du désordre du temps. Sylvie n'est plus dentellière mais gantière, les fauvettes ont été remplacées par les canaris; malgré son sourire empreint du même charme, Sylvie a parfois "un air sérieux". La vieille tante n'est plus et Sylvie est allée seule danser avec la vieille robe de mariée. De tout cela, le narrateur conclut avec amertume que la conversation ne peut plus être "bien intime" et que Sylvie n'est "plus une paysanne". Malgré tout, elle reste la "fée industrieuse", même si cette fée songe de plus en plus "au solide".

 

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