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320. |
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(à Fr.) un invincible respect le dominait
Sa réserve était plus forcée que volontaire car il
par un mot – un geste
Fr avait peur de perdre en une minute tout le
on peut ressaisir une occasion, on ne rattrape pas une sottise |
il la haïrait trop
si elle le repoussait
il avait peur de perdre
tout ce qu'il croyait
avoir acquis |
terrain qu'il avait acquis (1) d'ailleurs il sentait qu'il la
haïrait trop si elle repoussait (3)
Frédéric alliant la timidité au raffinement voulait qu'elle se
donnât. il se disait qu'une occasion manquée se retrouve mais qu’on
Il l’eût trop haïe si elle l'avait repoussé alliant le raffinement à la
ne répare pas une démarche trop hâtive. D'ailleurs il la possédait |
& dans un mélange
de raffinement & de timidité
il se disait
qu'il ne fallait pas la
souiller. elle était mieux
comme ça. – & alliant
le raffinement à la timidité |
timidité il voulait qu'elle se donnât d'elle-même
qu’avait-il à envier
en quelque sorte, puisqu'il était sûr de son amour – c'était une jouissance
non moins vraie plus étendue de la possession
moins âcre mais aussi réelle & aussi profonde que celle du coït. – & il M
[ (2) il s'arrêtait à chaque pas, à chaque détail dans la progression de cette
conquête, pr savourer le charme qu'il y rencontrait. (3)] – Il la désirait
à cause de l'invincible respect qu'elle lui inspirait |
N.
chaque femme donne
un désir différent
une excitation |
Il la désirait plus violemment, de loin, que de près.
Près d'elle, il éprouvait une
Il la convoitait plus ardemment de loin que de près
béatitude infinie. Puis il se reprochait de ne pas l'aimer assez, |
celle celui qu'inspirait
Me Arn ne se
refusait obstinément de le
baiser.
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se désespérait
formulait pas par le coup
s'excitait à la passion – & prtant sa vie n'était pas remplie d'autre chose
ça s’aiguise – ils sentent tout plus vivement.* Peu à peu
langueur
Peu à peu le corps, les nerfs s’en mêlent davantage. Leurs mains se joignent plus
souvent. Leurs regard restaient plus longtemps fixés l'un sur l'autre |
citer des
exemples de leurs
malaises ?
: effet de la température
Gronderies. –
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ne savent plus que se dire, ou n'osent pas se le dire.
– effets des variations de température.
les moments de silence sont plus longs – il leur manque qq chose
Petites brouilleries
ils sont malades – une atmosphère d'orage les entoure – ils se sentent
piques, brouilles.
entraînés. ils sont sur une pente. Ils ont, à propos de rien,
des peurs, comme s'ils étaient coupables. une atmosphère d’orage
les entourait.
Elle voulait rompre. « Je fais mal – j'ai l'air d'une coquette »
Alors F. répétait les mêmes arguments –
et malgré tout, ça continuait – |
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Danielle GIRARD |