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X. |
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Je te jure ma parole.
Elle donne sa parole que ce n’est pas vrai. dit leurs noms
le [illis.]
cita des détails vrais
[illis.] |
et des circonstances
vraies qui la firent
pâlir. |
— Je la connais ta parole » & Fr. lui rappela ses amants. Il y a des jours
jusqu’à présent.
« J’ai bien voulu jusqu’à présent
où il me plaît de fermer les yeux. Aujourd’hui j’en ai assez ! on ne
de ton espèce mais quand elles
meurt pas pr les trahisons d’une femme comme* toi* – Mais* il est
arrivent à l’infamie*, à la vraie* cruauté doit un châtiment & lequel ? |
on s’en écarte avec
horreur, car ce serait
s’abaisser que de les
punir. j’aurais bien
envie de te battre.
Je te méprise |
du devoir d’un honnête homme d’[illis.] ses [illis.] quand elle
dépassent la mesure quand elles arrivent à l’infamie & à la cruauté.
s’adressent à qui vaut mieux que toi* – mon mépris –
pleurait en se tordant les bras
Rosanette se tord les bras & pleure. « Mais mon Dieu ! qu’est-ce donc qui l’a
changé !
— pas d’autre que toi-même ! »
Elle contre cette injustice toujours
Rosanette se révolta — « eh ! tu veux m’embêter avec Me Arnoux à la fin
de réglisse
la peau couleur – de gds yeux com un |
Ψ |
Fr. froidement réglisse* soupiraux de caves
— Je n’ai jamais aimé qu’elle ! elle a dr** mais vides A
mais ça te plaît |
ricanement. |
— ça te prouve ton bon goût ! » elle la décline*. – Eh bien. va la rejoindre – »
une pers. d’âge à être gd mère tu me chasses. |
B je les trouve les plus beaux du monde
— eh bien, va la rejoindre.
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Fr. tourna les talons & murmura. — « j’aime autant que ça vienne de toi ! »
** stupéfié par ces façons insolites* merci »
Ros. resta immobile. peu habituée à ses procédés. Elle laissa même la porte se refermer
sortit
puis d’un bond, sortit le rattrape/a dans l’antichambre, & l’entoura/ant de ses bras.
— Mais tu es fou ! tu es fou ! c’est absurde. je » t’en prie, écoute-moi. »
il était
Fr. resta calme & froid comme une statue.
« mon Dieu, au nom de notre pauvre
Elle multiplie ses prières : mon je t’aime &* notre petit enfant - - -
protestions
Fr. — « avoue-moi que c’est toi qui as fait le coup ! » dit Fr.
Elle protesta encore. de
— mais ce n’est pas moi » elle se révolta & reprolixité sur son innocence
veux prolixement
Alors tu ne peux pas avouer ? »
— Non.
— eh bien, adieu, pr toujours |
Fr. fit
se retourna |
— écoute [illis.]
— prquoi ? Si tu me connaissais mieux, tu saurais que je ne remettrai
jamais les pieds ici (Bien montrer au lecteur que c’est irrévocable) |
R. avec orgueil |
— Oh tu me reviendras !
— Non, adieu » — et il claqua la porte. |
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[SAWASAKI Hisaki] |