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Gustave Flaubert — L'Éducation sentimentale [1869]
Troisième partie – Chapitre 5
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folio
610-39v
Vengeance de Madame Dambreuse
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462. |
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de cette façon quand
Tout s’exécuta selon son programme – & vers la fin du mois de
novembre, Frédéric, en passant dans la rue de Me Arnoux leva ses/les
yeux vers ses fenêtres. & aperçut à sa porte une affiche, où il y
gr inég*
avait en lettres de grosseurs différentes.
— « Vente d’un beau mobilier moderne, consistant en batterie de cuisine, linge de
dentelles
corps & de table, bonne garde-robe de femme, chemises, jupon, pantalon, châles
français cachemires de l’inde, piano d’Érard en marquetterie, deux bahuts de
chêne genre Renaissance, quatre gds miroirs de Venise, poteries de chine &
du Japon, faïences d’art. »
Mais
Mais c’est leur mobilier ! » se dit Frédéric – le concierge confirma son
confirma son soupçon. – quant à la personne qui faisait vendre il l’ignorait
Mais le commissaire-priseur Mtre Bartholmot, dont le nom se trouvait
au bas de l’annonce donnerait peut-être des éclaircissements. |
| L’officier ministériel |
ne voulut point [illis.] d’abord pas
D’abord Il ne voulut* point d’abord dire quel
eut* ... ... ... [illis.] ... ... ... était le séancier qui
L’officier ministériel ... ... [illis.] ... ... par chercher
la
poursuivait cette vente. Frédéric insista pr le savoir. enfin Mtre Bartholmot
répondit que c’était un sieur Sénécal agent d’affaires & il poussa même
la complaisance jusqu’à prêter son journal des affi Petites-affiches.
le jeta devant elle
Frédéric, en arrivant chez Rosanette, lui jeta, [illis.] sur la
table. — « lis donc » |
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SAWASAKI Hisaki |
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