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461/2 VIII. |
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C’était une arme, cela ! Me Dambreuse n’en doutait pas. – Mais son notaire
peut-être elle eût préféré
lui conseillerait peut-être de s’abstenir. Mieux valait qqu’un d’obscur, de discret
figure
pourtant. – Alors elle s’était rappelée ce gd diable à l’air impudente qui lui
avait offert ses services. tout naïvement fit sa commission.
Fr lui dit que Me D le demandait
Il revint. & elle lui montra les billets. |
L’avocat fut d’obliger
enchanté de [illis.]
une si gde dame
persuadé qu’il est
toujours bon de servir
B
les riches [puis
& vient |
Deslauriers depuis longtemps ne pensait plus à Me Arnoux – mais la vue de son
nom, écrit par elle-même, lui remit sous les yeux toute sa personne - - -
& il ne fut pas fâché
- - - & l’outrage qu’il en avait reçu. L’idée de se venger lui revint
un peu. |
elle le prévint que |
répondit-il
Rien de plus simple – Me Dambreuse ferait vendre aux enchères, les
créances désespérées, dépendant de la succession. Elle rachèterait en sous-main |
Mais la succession appartient/enait
sa nièce
à Martinon qui*?
Quid de Martinon ?
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par un homme de paille le lot qui comprenait les billets de Me Arnoux
& ferait exercer par celui-ci des poursuites. – Il se chargeait de
fournir cet homme-là. |
l’[illis.]
Me D ... ... [illis.] ... ...
[illis.]
qui le prix* [illis.] pr
Martinon
C’était une disait-elle
raison de plus pr [illis.]
par loyauté apparente
pr au remboursement
elle pousser à la réalisation
du* immédiate de cette
somme perdue. – car
elle entendait bien que
le prix* reviendrait à
Martinon.
Des la comprit A
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Frédéric voit dans les petites affiches l’annonce de la
vente d’un mobilier que d’après le détail des meubles, il reconnait
pr être celui de Me Arnoux – il prit des informations (?).
C’est bien cela ! alors* – Et il apprend – (comment ?) – que les
poursuites sont dirigées par Sénécal –
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SAWASAKI Hisaki |