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L'Éducation sentimentale

Velléités et échecs de Frédéric

Gestes, actes, projets non aboutis
Ambitions passagères et laissées sans suite
Faiblesses et lâchetés – Échecs
 

     
Analyse des extraits Édition Chapitre

Frédéric renonce à entrer dans la cour des diligences pour voir Mme Arnoux une dernière fois. 44 I, 1
Pour s’assurer de quoi vivre, Deslauriers a accepté une place de maître-clerc à Troyes. Frédéric voit ainsi le premier de ses rêves s’écrouler, celui de vivre avec lui à Paris. 49-50 I, 2
Frédéric hésite entre écriture, musique et peinture pour exprimer ses troubles intérieurs. Mais il n’a produit que quelques poèmes qui n’enthousiasment pas Deslauriers. 50 I, 2
Frédéric a besoin d’amour pour produire des œuvres sublimes mais il renonce à chercher une femme qui pourrait l’aimer car il pense appartenir à la race des déshérités. 51 I, 2
Frédéric commence ses études de droit, qu’il abandonne au bout de quinze jours. 56-57 I, 3
Frédéric fréquente les cabinets de lecture, les collections du Louvre et les spectacles mais n’y trouve pas les joies qu’il attendait. Il tombe dans un désœuvrement sans fond. 56-57 I, 3
Pour se faire inviter chez les Dambreuse, Frédéric leur envoie des cartes de visite mais ne reçoit aucune réponse. 58 I, 3
Frédéric décide de déclarer son amour à Mme Arnoux. Il compose une lettre de douze pages, mais la déchire et ne tente plus rien, immobilisé par la peur de l’insuccès. 58 I, 3
Frédéric retourne aux cours de droit, mais à cause de sa longue absence les choses les plus simples lui posent problème.    
Frédéric commence à écrire un roman dont Mme Arnoux et lui sont les héros. Quand il en aperçoit les trop nombreuses réminiscences, il l’abandonne et son désœuvrement redouble. 59 I, 3
Frédéric tente de se lier avec Sénécal. Après avoir monté trois fois ses cinq étages sans en recevoir aucune visite, il n’y retourne plus. 60 I, 3
Pour s’amuser, Frédéric va aux bals de l’Opéra mais n’y prend aucun plaisir tant il a peur d’être entraîné à des frais considérables. 60 I, 3
Frédéric n’ose pas refuser à Arnoux le service qu’il lui demande : Pour vexer un confrère qui inaugure un autre journal de peinture par un grand festin, Arnoux prie Frédéric d’écrire des billets où l’on désinvite les convives. 75 I, 4
Frédéric se fixe des jours pour aller chez Mme Arnoux. Mais devant sa porte il hésite à sonner, puis par discrétion il renonce à faire ces visites. 89 I, 5
Malgré sa demande insistante, Frédéric ne le présente pas Deslauriers chez Arnoux. Il a peur qu’il ne déplaise à Mme Arnoux, ce qui pourrait le compromettre, le rabaisser lui-même auprès d’elle. 93 I, 5
Frédéric échoue à son examen de droit. 94-95 I, 5
Humilié par la réussite de Martinon, il prie Hussonnet de ne pas parler de son échec chez Arnoux. 95 I, 5
 À la nouvelle du départ d’Arnoux, une joie saisit Frédéric. Il pourra se présenter chez Mme Arnoux sans crainte d’être interrompu dans ses visites. La conviction d’une sécurité absolue lui donne du courage. 96 I, 5
Frédéric hésite à aller chez Mme Arnoux. Pour savoir quoi décider, il joue à pile ou face. 96 I, 5
 Il espère trouver Mme Arnoux seule chez elle mais c’est Arnoux qui l’accueille – fort mal – quand il se présente. 97 I, 5
L’insuccès de cette première tentative l’a découragé. Il ne recommencera pas. 98 I, 5
Frédéric assiste par lâcheté et par bêtise à d’interminables parties de billard entre Arnoux et Regimbart, dans l’espérance confuse d’un événement favorable à son amour. 100 I, 5
Au moment où Frédéric s’apprête à lui déclarer son amour, Mme Arnoux le quitte pour entrer dans un magasin de porcelaines. 101 I, 5
Frédéric est sûr que toute tentative pour faire de Mme Arnoux sa maîtresse est vouée à l’échec. 102 I, 5
Mme Arnoux refuse à Frédéric le baiser qu’elle accorde à ses vieux amis. Il se sent repoussé et ne sait comment lui dire qu’il l’aime. 102 I, 5
Incapable d’action, maudissant Dieu et s’accusant d’être lâche, Frédéric tourne dans son désir, comme un prisonnier dans son cachot. 102 I, 5
Frédéric est en proie au découragement. Il a envie de se suicider en se jetant dans la Seine. Mais le parapet est un peu large. Par lassitude il n’essaie pas de le franchir et s’affaisse sur un banc. Il sera réveillé par des agents de police convaincus qu’il a fait la noce. 109-110 I, 5
Frédéric a honte de Dussardier. Il ne veut pas que Mme Arnoux croie qu’il fréquente les gens du commun. 114 I, 5
Frédéric aime Mme Arnoux d’un amour absolu, d’autant plus fort qu’il ne peut l’assouvir. 116 I, 5
Dans la voiture qui les ramène de Saint-Cloud à Paris, Frédéric étend la main du côté de Mme Arnoux espérant rencontrer la sienne. Puis il a honte, et la retire. 117-118 I, 5
Frédéric se présente chez Mme Arnoux, croyant qu’elle est revenue de Chartres la veille. Mais son retour est différé d’une semaine. Il dîne seul, puis flâne sur les boulevards. 120 I, 5
Mme Moreau explique à Frédéric leur situation financière dégradée. Elle conseille à Frédéric de se mettre clerc de notaire et de trouver un bon parti. Il est effondré. 122 I, 5
Frédéric se sent ruiné, dépouillé, perdu. Il s’était imaginé que sa fortune paternelle monterait un jour à quinze mille livres de rente. Il n’osera plus se présenter chez Arnoux car il sent peser sur lui une sorte d’outrage, de déshonneur.  123 I, 6
Frédéric a honte de sa pauvreté. Il n’imagine pas se présenter chez Mme Arnoux avec la même redingote pendant un an. 123 I, 6
Frédéric est peu à peu corrompu par les délicatesses du foyer familial. Il se laisse conduire chez maître Prouharam mais n’y montre ni science ni aptitude. On l’avait considéré jusqu’alors comme un jeune homme de grands moyens, qui devait être la gloire du département. C’est une déception publique. 124 I, 6
Frédéric refuse la proposition du père Roque d’aller passer une journée avec lui chez M. Dambreuse car il n’a pas de costume d’été convenable et doit prévenir sa mère. 128 I, 6
Frédéric s’accoutume à la province et s’y enfonce. Il accepte l’idée que sa mère lui achète le greffe du tribunal. 129 I, 6
Son amour pour Mme Arnoux a pris comme une douceur funèbre, un charme assoupissant. Son affection est devenue tranquille et résignée. 129 I, 6
Frédéric hérite de toute la fortune de son oncle : vingt-sept mille livres de rente. Il imagine un train de vie luxueux, des visites à Mme Arnoux. Cela se renouvellerait tous les jours, indéfiniment. 129 I, 6
Frédéric déclare à sa mère qu’il habitera à Paris et qu’il sera Ministre. Il va se lancer dans la diplomatie et entrer d’abord au Conseil d’État, avec la protection de M. Dambreuse. 130 I, 6
Frédéric est tout à son plaisir de revoir les Arnoux mais ils ont déménagé. Il ne les trouve ni boulevard Montmartre, ni rue de Choiseul. 135 II, 1
Il passe deux jours en recherches infructueuses pour trouver la nouvelle adresse des Arnoux. 136-139 II, 1
Frédéric s’était attendu à être reçu avec des spasmes de joie. Il est déçu par l’accueil de Mme Arnoux. 140 II, 1
Frédéric se fait des résolutions d’égoïsme et décide de se jeter au milieu du monde, sans peur. 141 II, 1
Deslauriers propose à Frédéric de participer à son journal politique. Il ne refuse pas, mais veut attendre d’abord le règlement de ses affaires. 143 II, 1
Au bal masqué, Frédéric décline l’invitation de Rosanette : il ne sait pas danser. Mécontent de lui-même, et ne sachant que faire, se met à errer dans le bal. 147-148 II, 1
Après la poignée de main que lui a donnée Mme Arnoux, Frédéric est tout joyeux de vivre. Il se sent le besoin de faire des générosités et des aumônes. Mais comme autour de lui il ne voit personne à secourir, sa velléité de dévouement s’évanouit, car il n’est pas homme à en chercher au loin les occasions. 165 II, 2
Frédéric veut écrire une histoire de l’esthétique, écrire des drames et une grande comédie. 175 II, 2
Mais il interrompt souvent son travail pour aller voir Rosanette ou Mme Arnoux. 176 II, 2
Frédéric croit que Rosanette lui fait des avances et décide de s’y prendre carrément avec elle. 177 II, 2
Mais elle prend d’abord ses tentatives pour une marque de mépris puis prend l’habitude d’en rire. 178 II, 2
Deslauriers reproche à Frédéric de ne pas tenir ses promesses. Il ne l’a toujours pas présenté chez Dambreuse. 183 II, 2
Contre son gré, dans un brusque mouvement de résignation, Frédéric demande à son notaire de lui envoyer 15000 frs, destinés à Deslauriers. 184 II, 2
Mme Arnoux lui rappelle son projet d’entrer au Conseil d’État avec l’appui de M. Dambreuse. Puisqu’elle le veut, il obéit. 184 II, 2
Frédéric se présente chez Rosanette, croyant être invité. Elle ne le reçoit pas et Frédéric ne comprend rien à ce caprice. 191-192 II, 2
Frédéric dit à Mme Arnoux que son existence est manquée, sans pouvoir lui avouer le véritable motif de son chagrin. Il joue les poètes maudits. 199 II, 3
Chaque matin il se jure d’être hardi, mais une invincible pudeur l’empêche d’avouer son amour. 199 II, 3
Frédéric fait des rêves impossibles pour s’enfuir avec Mme Arnoux. Mais les enfants, les deux bonnes, la disposition des pièces sont d’insurmontables obstacles. 199 II, 3
Frédéric a honte de dîner chez Arnoux tout en ambitionnant sa femme. Mais il continue en se donnant pour excuse qu’il peut ainsi la défendre et lui être utile. 202 II, 3
Dambreuse lui offre une vingtaine d’actions dans son entreprise de houilles mais Frédéric ne vient pas les chercher. Il ne répond pas aux lettres de Deslauriers. Il ne va pas voir le portrait de Rosanette que fait Pellerin. 202 II, 3
Arnoux a dit à sa femme que Rosanette est la maîtresse de Frédéric. Il est indigné mais ne contredit pas Arnoux qui prétend que c’est un honneur de passer pour son amant. 203 II, 3
Frédéric a promis à Deslauriers une somme de 15000 frs pour son journal. Mais quand il reçoit le bon de la Banque, il hésite, imaginant tout ce qu’il pourrait faire avec cet argent. 208 II, 3
Il veut tenir sa parole envers Deslauriers et obliger Arnoux. Il ne sait que faire : jouer à la Bourse ? emprunter à Dambreuse ? donner l’argent à Deslauriers ? Il n’en fait rien, se donnant ainsi le moyen de revenir sur sa décision. 209-210 II, 3
Croyant que c’est Mme Arnoux qui lui demande ce prêt, Frédéric donne l’argent à Arnoux et dit à Deslauriers qu’il n’a rien reçu. 210 II, 3
Frédéric n’ose pas demander à Arnoux le remboursement de sa dette et ne sort qu’à la nuit close, craignant d’être surpris par Deslauriers. 211 II, 3
Frédéric n’ose pas dire à Deslauriers qu’il n’a plus les 15000 frs promis. Il prétend les avoir perdus au jeu. 211 II, 3
Il est humilié par la désinvolture d'Arnoux et par le sentiment de sa lâcheté envers son ami. 212 II, 3
Frédéric ne va pas au rendez-vous que lui fixe Dambreuse. Il part à la fabrique de Creil, espérant y trouver Mme Arnoux seule. 218 II, 3
Mme Arnoux refuse à Frédéric son bras pour monter l’escalier. 224 II, 3
Frédéric croit avoir trouvé l’occasion de déclarer son amour à Mme Arnoux. Elle l’arrête immédiatement et n’entre pas dans sa discussion sur l’amour, ses désespoirs et ses emportements. 225 II, 3
Il a envie de se jeter à ses genoux mais en est empêché par une sorte de crainte religieuse. La peur de faire trop et de ne pas faire assez lui ôte tout discernement. 226 II, 3
Cet échec le stupéfie. Il se sent perdu comme un homme tombé au fond d’un abîme. 227 II, 3
Au café Anglais, Frédéric a besoin d’un tête-à-tête avec Rosanette mais elle invite Cisy, ce qui le met au supplice. 238 II, 4
Frédéric et Cisy s’affrontent sur tous les sujets et Rosanette prend toujours parti contre lui. 238-239 II, 4
Frédéric laisse entendre qu’il n’a pas besoin de payer pour jouir des charmes de Rosanette. Cela déclenche l’hilarité générale. 247-248 II, 4
Regimbart aurait pu annuler le duel en présentant de simples excuses mais a refusé de le faire. Frédéric regrette de n’avoir pas choisi un autre témoin. 251-252 II, 4
À la pensée du duel, Frédéric ressent subitement une angoisse abominable. Il pense qu’il sera tué, comme son père. 252 II, 4
Frédéric songe à rappeler à Arnoux les quinze mille francs qu’il lui doit. Il y renonce car il se sent fatigué. 257 II, 4
Frédéric découvre dans journal d’Hussonnet un article perfide contre lui.  Doit-il en demander raison ? Il décide d’avaler la chose silencieusement. 259-260 II, 4
Le portrait de Rosanette est exposé dans la vitrine d’un marchand de tableaux. Frédéric se croit victime d’une conjuration. Son duel n’a donc rien empêché. Il se sent ridicule aux yeux de tout le monde. 260 II, 4
Frédéric rougit jusqu’aux oreilles à l’idée que Mme Dambreuse puisse le prendre pour l’amant de Mme Arnoux. 263 II, 4
À Dambreuse qui lui conseille de ne pas faire d’affaires avec Arnoux, Frédéric fait signe qu’il n’en est rien. 263 II, 4
Chez Dambreuse, Frédéric découvre le Flambard sans doute apporté par Cisy. Il craint que tout le monde ait lu l’article et se sent enveloppé d’une ironie silencieuse. 264 II, 4
Frédéric ne donne pas suite à la proposition de Dambreuse qui lui propose une place de secrétaire. 265 II, 4
Frédéric gère mal son capital. Ses revenus ayant sensiblement diminué, il doit restreindre sa dépense, ou prendre un état, ou faire un beau mariage.
Deslauriers lui conseille de revoir Mlle Roque. Comme il est un peu fatigué, il part pour Nogent.
267 II, 4
Louise Roque se pâme dans les bras de Frédéric et lui demande de l’épouser.
Pris au dépourvu, comme il ne sait que répondre, il accepte.
277 II, 5
Deslauriers veut faire avouer à Frédéric qu’il est amoureux de Mme Arnoux. Envahi par une lâcheté immense, il répond sur l’honneur qu’il n’en est rien. 285 II, 6
Cédant aux instances de Deslauriers, Frédéric achète 500 frs le portrait de Rosanette qu’il trouve pourtant abominable. 290 II, 6
Frédéric a attendu toute la journée Mme Arnoux qui n’est pas venue au rendez-vous. Revenu chez lui, il reste prostré dans son fauteuil sans même avoir la force de la maudire. 305-306 II, 6
Frédéric emmène Rosanette dans le logement préparé pour recevoir Mme Arnoux. Mais dans la nuit, il sanglote, la tête enfoncée dans l’oreiller. 307 II, 6
Février 1848 – Frédéric assiste en spectateur à l’émeute. Au moment où il veut entrer dans le combat, un garde national lui en montre l’inutilité car le Roi vient de partir. 311 III, 1
La candidature de Frédéric est encouragée par tout le monde autour de lui. Homme de toutes les faiblesses et gagné par la démence universelle, il décide de se présenter. 322 III, 1
Au Club de l’Intelligence, Frédéric réclame la parole en interrompant le discours du patriote de Barcelone. Il exaspère la foule, qui le met à la porte. 331 III, 1
Au dîner chez Dambreuse, la discussion porte sur le portrait de Rosanette, ce qui fait rougir Frédéric. 366 III, 2
En sortant de chez Dambreuse, Louise se plaint de cette soirée, du silence de Frédéric pendant un an, de sa lâcheté de ne pas lui avoir parlé, comme s’il avait honte d’elle. Pour esquiver ses accusations, il lui jure qu’il n’aime qu’elle seule. 370 III, 2
Jamais Frédéric n’a été plus loin du mariage, surtout avec Louise. Il invoque ses affaires, sa fortune compromise, les circonstances politiques, enfin, il s’enfuit en prétextant un rendez-vous avec Dussardier. 371 III, 2
La grossesse de Rosanette est pour lui une calamité qui ajourne leur rupture et bouleverse tous ses projets. 380 III, 3
Frédéric remet à plus tard le moment de prendre un parti définitif sur la conduite de Rosanette. 383 III, 3
Avec Mme Dambreuse, Frédéric feint de grandes ardeurs pour cacher la désillusion de ses sens. Pour éprouver du désir, il lui faut évoquer l’image de Rosanette ou de Mme Arnoux. 394 III, 4
Bien que la fortune amoindrie de Mme Dambreuse soit tout de même de l’opulence pour Frédéric, il ressent une déception. Adieu ses rêves, et toute la grande vie qu’il aurait menée ! 404 III, 4
Rosanette montre à Frédéric son enfant qui vient de naître. Il le trouve répugnant et le baise du bout des lèvres. 405 III, 4
Frédéric n’a fait aucun effort pour gagner à Nogent sa campagne électorale. Il n’a plus aucune chance d’être élu. 406 III, 4
En découvrant la prodigieuse vieillesse et la décadence d’Arnoux dans sa boutique, Frédéric renonce à récupérer l’argent qu’il doit à Rosanette. 414 III, 4
Après la rupture, son mariage avec Mme Dambreuse lui apparaît comme une spéculation ignoble, une bassesse qu’il a manqué faire à cause d’elle. 435 III, 5
Frédéric revient à Nogent en espérant retrouver Louise. Il arrive au moment où elle sort de l’église, mariée à Deslauriers. Honteux, vaincu, écrasé, il retourne à Paris. 435-436 III, 5
Frédéric voyage, puis revient à Paris. Des années passent avec des amours insipides, sans véhémence du désir et sans ambitions d’esprit. Il supporte le désœuvrement de son intelligence et l’inertie de son cœur. 437 III, 6
Hiver 1868-69, Frédéric, ayant mangé les deux tiers de sa fortune, vit en petit bourgeois. 442 III, 7
Frédéric et Deslauriers résument leur vie. Ils l’ont manqué tous les deux, à cause du défaut de ligne droite pour l’un et par excès de rectitude pour l’autre. Ils accusent le hasard, les circonstances et l’époque. 444 III, 7
     
Danielle Girard - Bernadette Goarant - Hisaki Sawasaki