| Analyse des extraits |
Édition |
Chapitre |
| Frédéric décline l’invitation à déjeuner d’Arnoux, prétendant qu’il a déjà pris son repas ; or, il est affamé et n’a plus d’argent. |
42 |
I, 1 |
| Frédéric prétexte l’oubli d’un petit carnet pour revenir chez les Arnoux. |
77 |
I, 4 |
| Frédéric dîne chez les Arnoux et laisse croire à Deslauriers qu’il va chez les Dambreuse. |
79 |
I, 4 |
| Humilié parce que Martinon a réussi les examens de droit auxquels il a échoué, Frédéric feint l’indifférence. |
95 |
I, 5 |
| Désireux de rester à Paris durant l’été, Frédéric écrit à sa mère. Il lui avoue qu’il a échoué à ses examens en donnant des raisons fallacieuses à cet échec, et lui demande de l’argent pour financer des répétitions de droit. |
96 |
I, 5 |
| Frédéric croit Arnoux en Allemagne et rend visite à Mme Arnoux. C’est son mari qui lui ouvre, et Frédéric finit par trouver un prétexte à sa présence : le sachant parti, il venait prendre de ses nouvelles. |
97 |
I, 5 |
| Frédéric raconte à Deslauriers que Cisy lui a demandé de l’accompagner au bordel, mais tait la part qu’il a prise dans cette expédition. |
110 |
I, 5 |
| À brûle-pourpoint, Mme Arnoux demande à Frédéric si son mari l’a bien emmené au bal de Rosanette. Son absence de réponse vaut acquiescement. |
165 |
II, 2 |
| Frédéric fait mine de défendre Arnoux auprès de sa femme mais se réjouit de la situation : malheureuse, Mme Arnoux se réfugiera peut-être vers lui. |
196 |
II, 2 |
| Frédéric a honte d’avoir la confiance d’Arnoux alors qu’il convoite sa femme. Pour se donner bonne conscience, il se dit que sa présence peut être utile à Mme Arnoux. |
202 |
II, 3 |
| Frédéric prête à Arnoux l’argent qu’il avait promis à Deslauriers, à qui il prétend ne pas avoir reçu la somme. |
210 |
II, 3 |
| Arnoux affirme ne pas pouvoir rendre la somme prêtée par Frédéric. Deslauriers exige alors de son ami une explication franche ; ce dernier prétend avoir perdu les quinze mille francs au jeu. |
211 |
II, 3 |
| Frédéric a l’occasion de voir Mme Arnoux seule à la fabrique. Il a un rendez-vous d’affaire avec Dambreuse, mais prétextera une maladie. |
218 |
II, 3 |
| Frédéric visite la fabrique avec Mme Arnoux ; il s’ennuie, mais feint l’enthousiasme pour demeurer plus longtemps en sa compagnie. |
223 |
II, 3 |
| Rosanette a un geste sensuel envers Frédéric, qui répond à ses avances tout en pensant à Mme Arnoux. |
236-237 |
II, 4 |
| Tendre tête à tête entre Rosanette et Frédéric au Café Royal, interrompu par l’arrivée de Cisy. Alors qu’il est au supplice, il accueille cordialement le gentillhomme. |
238 |
II, 4 |
| Frédéric défend Arnoux contre les accusations d’escroquerie dont le charge Cisy en travestissant la vérité. Il invente des chiffres et des preuves. |
248 |
II, 4 |
| Pour répondre aux interrogations de Mme Dambreuse sur les relations qu’il entretient avec de Cisy, Frédéric affirme ne le connaître qu’un peu. |
262 |
II, 4 |
| Dambreuse reproche à Frédéric de ne pas être venu à leur rendez-vous d’affaires. Frédéric commence par prétexter une maladie, puis, sentant l’excuse un peu pauvre, lui dit qu’il avait eu besoin de ses fonds. |
263 |
II, 4 |
| À Dambreuse qui lui demande s’il fait des affaires avec Arnoux, Frédéric répond par des signes de tête que ce n’est pas le cas. |
263 |
II, 4 |
| Frédéric avoue la perte de ses 15 000 francs à Deslauriers, en taisant le fait que cette somme lui était à l’origine destinée. |
266 |
II, 4 |
| Deslauriers suggère des poursuites contre Mme Arnoux ; Frédéric proteste vivement et dit partiellement la vérité à Deslauriers, ménageant ainsi Mme Arnoux. |
266 |
II, 4 |
| Soirée chez Mme Moreau : Frédéric s’attire l’admiration des convives en racontant des anecdotes de sa vie parisienne qu’il a en fait lues dans les journaux. |
267 |
II, 4 |
| À Louise qui reproche Frédéric de ne pas lui avoir donné de ses nouvelles, il objecte ses nombreux travaux, et dit qu’il étudie la politique. |
273 |
II, 5 |
| Louise suspecte Frédéric d’avoir quelque « affection » à Paris. Il le nie avec assurance. |
275 |
II, 5 |
| Louise demande à Frédéric s’il veut l’épouser. Ne sachant que répondre, il dit qu’il ne demande pas mieux. |
277 |
II, 5 |
| Pour quitter Nogent et retourner à Paris, Frédéric invente une histoire et dit à tout le monde et croit lui-même qu’il reviendra bientôt. |
278 |
II, 5 |
| À Deslauriers qui cherche à lui faire avouer qu’il est amoureux de Mme Arnoux, Frédéric répond sur d’honneur qu’il n’en est rien. |
285 |
II, 6 |
| Pour se justifier de la rencontre au Champ de Mars où il a été vu avec Rosanette, Frédéric prétend que le hasard seul l’a fait se trouver avec cette femme. |
293 |
II, 6 |
| Frédéric décline l’invitation d’Arnoux en alléguant une affaire urgente pour rejoindre Madame à Auteuil. |
294 |
II, 6 |
| Bien qu’étonné de l’aspect très malade de l’enfant, Frédéric rassure Mme Arnoux en citant des exemples de guérison. |
298-299 |
II, 6 |
| Frédéric amène Rosanette à la chambre qu’il a préparée pour Mme Arnoux. Il lui explique ses pleurs par l’excès de bonheur de la posséder enfin. |
308 |
II, 6 |
| À Arnoux qui demande pourquoi il ne vient plus voir sa femme, Frédéric épuise tous les prétextes puis assure qu’il est venu plusieurs fois, inutilement. |
336 |
III, 1 |
| Frédéric prétend qu’il n’a jamais pensé à Mme Arnoux, étant trop amoureux de Rosanette. Comme elle ne le croit pas, il invente l’histoire d’une passion malheureuse, avec des détails circonstanciés. |
352 |
III, 1 |
| Frédéric a évité soigneusement le père Roque et Louise. Il allègue sa présence au chevet d’un camarade blessé et un tas de choses qui l’ont accaparé. |
362 |
III, 2 |
| Au dîner chez les Dambreuse, la conversation roule sur le portrait de Rosanette. Tout le monde est convaincu qu’elle est la maîtresse de Frédéric. Mme Arnoux et Louise découvrent ainsi son mensonge. |
366 |
III, 2 |
| Mme Dambreuse plaisante Frédéric sur l’amour que Louise a pour lui. Il s’en défend, en la traitant de laideron. |
369 |
III, 2 |
| Frédéric, pour se venger du vicomte, lui fait croire qu’on va le poursuivre comme légitimiste. |
370 |
III, 2 |
| Louise reproche à Frédéric son indifférence pendant la soirée chez Dambreuse. Il lui fait croire qu’il n’aime qu’elle seule. |
370 |
III, 2 |
| À Louise qui le presse au mariage, Frédéric allègue toutes les raisons possibles pour la faire patienter. Il s’enfuit enfin en prétextant un rendez-vous avec Dussardier, alors qu’il va chez Rosanette. |
371 |
III, 2 |
| Frédéric assure à Mme Arnoux que s’il a pris Rosanette comme maîtresse, c’est par désespoir, comme on se suicide. |
378 |
III, 3 |
| Frédéric courtise Mme Dambreuse en faisant l’apologie du mensonge car pour plaire aux femmes, il faut étaler une insouciance de bouffon ou des fureurs de tragédie. |
386 |
III, 3 |
| Frédéric vient de conquérir Mme Dambreuse. Il rentre triomphant chez Rosanette, l’attire sur ses genoux en s’applaudissant de sa perversité. |
390-391 |
III, 3 |
| À Mme Dambreuse qui veut savoir l’emploi de son temps, Frédéric répond qu’il a été malade et débordé. En réalité il s’est occupé de Rosanette qui vient d’accoucher. |
406 |
III, 4 |
| Frédéric mène une double vie entre Mme Dambreuse et Rosanette. Il doit inventer des histoires pour l’une et pour l’autre. |
407-408 |
III, 4 |
| Ses mensonges le divertissent. Il répète à l’une le serment qu’il vient de faire à l’autre, leur envoie deux bouquets semblables, leur écrit en même temps, puis établit entre elles des comparaisons. |
408 |
III, 4 |
| Frédéric prétend à Mme Dambreuse qu’il a quitté Rosanette depuis longtemps. Quand elle s’enquiert aussi de Mme Arnoux, il se contente de lever les épaules dédaigneusement. |
408 |
III, 4 |
| À Rosanette inquiète de son enfant malade, Frédéric n’hésite pas à dire qu’il connaît cette maladie et que ce n’est rien. |
419 |
III, 4 |
| Frédéric demande à Mme Dambreuse l’argent nécessaire pour sauver les Arnoux. Il lui dit que c’est pour Dussardier qui a commis un vol. |
423 |
III, 5 |
| Lors de sa dernière visite à Frédéric, Mme Arnoux croit reconnaître le portrait de Rosanette. Il prétend que c’est une vieille peinture italienne. |
438 |
III, 6 |