| |
458. V. |
Ψ pr se redonner
des forces, |
{{ toutes
— Mon ami » lui dit Rosanette – en le revoyant « as-tu fait toutes les courses
nécessaires ? »
Fr. comprenant la question pas
Il comprit sa* question, & répondit qu’il n’en avait eu de courage – il avait
marché, au hasard, dans les rues, pr s’étourdir.}} |
mais les qu’ils
qu’ils [illis.]
morceaux les étouffaient
et silencieux, l’un devant l’autre |
demie* passèrent dans la salle à manger – les
À sept heures, ils se mirent à table mais ne purent* manger |
| ils poussaient renvoyaient leurs |
assiettes demanda & en but un gd verre Ψ |
par intervalles puis
un long
soupir
navré* |
Au dessert Frédéric but de l’eau de vie sans savoir prquoi tout délabré & éreinté
comme délabré [illis.] broyé.
il se sentait *tout en ruine* [illis.] [illis.]
ne sentait rien ... ... ... ... [illis.] ... ... ... ... |
| de fatigue – anéanti |
rien que l’abrutissement physique [illis.], [illis.].
n’ayant plus conscience de rien, que de son abrutissement. des plaques
Puis elle lui montra le portrait. – [C’était une] chose hideuse - - des bleus
Ensuite elle voulut lui faire voir & dérisoire
des noirs, des jaunes - - & nullement ressemblante.
s’entreheurtaient D’ailleurs modèle*
D’ailleurs, il ne pouvait l’être à présent tant le petit cadavre |
Bien mettre* sa tête sur
l’oreiller – entourée de fleurs
d’automne
– alcôve religieux
Le ton violacé des
des lèvres violacées rendait/ent
plus mate encore la
blancheur laiteuse de sa peau.
le nez pincé, les yeux
profondément caves.
sur la joue droite
Sa tête reposé/ait du côté, et
sur au milieu d’un oreiller
de taffetas bleu.
– jonché de chrysanthèmes
deux pastilles du sérail |
était vidé encore mort
avait déjà changé – considérablemt amaigri depuis sa mort –
reposait un depuis le matin
sa tête sur l’oreiller de taffetas bleu
de côté pincé
blancheur de lait lèvres violacées, nez [illis.] – yeux très profondémet
de la peau
entouré de fleurs d’automne
cave. sa tête reposait entre des fleurs - - - idée de Delphine.
des pétales de camélias – des violettes. des roses
idée de Delphine d’automne
ainsi
Elles l’avaient arrangé le berceau comme un espèce de reposoir
dévotement près de la cheminée avec ses rideaux blancs
toutes les deux branches de buis bénis – flambeaux vermeil*
– vases.
Rosanette le pria de le garder avec elle – Il s’assit de l’autre
Fr. se rappela
côté du berceau – Alors sa veillée près de Mr Dambreuse lui revint
&
à la mémoire un océan de rêveries l’envahit.
venait de temps à autres, entr’ouvrir les rideaux
venait & elle songeait
Rosanette - - - sa pose - - - pensait à son fils
eu dans la vie ne fût
au long bonheur qu’elle aurait goûté s’il n’était pas mort.
Dans goûté il aurait
Elle l’apercevait à dix-huit mois, commençant/cé à marcher
elle l’apercevait
ans ange
puis à cinq, avec un polichinelle dans les bras, – à quinze
jouant aux barres - - -
ans, au collège, remportant un prix, à vingt jeune hom
- - - - & toutes ces figures qu’elle se créait, lui faisaient
comme autant de fils qu’elle aurait perdus. – sa maternité se
se trouvant ainsi
trouvant ainsi par excès de douleur, comme multipliée –
presque |
|
[SAWASAKI Hisaki] |