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V. |
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— Mais je les ai ! » dit Frédéric |
Le citoyen se tourna vers lui |
— Comment ? — « blagueur ?
je les dans ma poche
— Oui ! j’ai sur moi, [douze mille fr] que je lui apportais
Étonnement de Regimbart. — Comme vous y allez, vous ! quel ami vous faites !
Allons donc ! C’est une blague ! »
— Je vous dis que je les ai !
Mais
— Mais il n’est plus temps ! la plainte est déposée & Arnoux parti.
— Mais pas s/Seul ? » s’écria Frédéric |
{{ lui
j’y étais rue Paradis
j’ai été moi-même chez lui.
autant pr Mignot.
que pr lui
tout à l’heure
pr savoir à m’en tenir*.
Il n’y a plus personne.}} |
A ?
— Non, Avec sa femme ?/! » Regimbart en donne la preuve
laisse tomber sa tête « c’est fini » qq larmes.
en murmurant qui est*
Frédéric laisse voir son chagrin Me R. l’observait lui* tr**
sentit un gd déchigrement* pas qui
[illis.] de se trouver mal
remarqua sa pâleur & lui demanda s’il ne
même* |
B ce matin
— on les a vus déjeuner
ce matin
ensemble au café de la
à la gare du Havre
gare de [illis.]
& j’ai été moi-même
chez eux, il n’y a plus personne.
tantôt. |
Regimbart parle/a de l’inconduite d’Arnoux *de ses fautes*
vraiment
il allait trop loin
Me Regimbart dit son mot & l’appuie* – ce sont les gueuses* qui l’ont
sourit perdu.
avait sur la conscience
Le citoyen (qui a prtant, qques peccadilles conjugales à se reprocher) estime/ait les
a dû souffrir !
femmes vertueuses, fait/sait gd cas de Me Arnoux. « elle lui soignait ses vieux |
| elle lui soignait |
ses vieux restes.
restes. – c’est un Ange ! » & lui serra la main
int* sut en le
Frédéric, en lui-même, lui sait gré de ce sentiment. – & remercie/ant.
était
comme s’il lui avait rendu un service – Le citoyen en est même
tout étonné. – |
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SAWASAKI Hisaki |