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IX |
La force à lire
elle lit. |
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Quand elle a lu. « Eh bien ? »
avec une physionomie
tellement sincère
que ça exaspéra Fr. |
Il arrive chez Rosanette, avec le journal des petites affiches, & le lui jette sous
nez – l**
Elle nie...
Mais toutes les apparences la condamnent ! Seule elle a intérêt à poursuivre |
elle est jalouse de Me
Arnoux depuis
longtemps. |
Me Elle est depuis longtemps jalouse de Me Arnoux
les Arnoux. – Elle possède un jugement – Sénécal s’est déjà mêlé de ses affaires.
il n’est qu’un prête-nom –
Pr qui agirait-il sinon, pr elle ? - - - - autres raisons encore. - - - [illis.]
motifs de rancune* contre*
Sénécal a des [illis.] pr [illis.] [illis.] Arnoux |
— Garde ton innocence
— Mais encore.
c’est toi qui l’as fait vendre
— qui ?
— Me Arn.
— le nom n’est pas |
il ne lui ... [illis.] ... ! à
de rancune contre
Rosanette proteste encore une fois de son innocence.
Mais il lui prouve que souvent, il l’a surprise en flagrant délit de mensonge
lui reproche ses amants etc...
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— tu sais mieux que moi
que c’est son mobilier
— qu’est-ce que ça me
fait ? en haussant les
regarde épaules.
— ce que ça te fait. c’est
une vengeance de toi pr
assouvir les jalousies
imbéciles. procès, taquinerie
mensonge. & outrage jusque
chez elle comme si je
n'avais pas dû te mettre à la porte. |
Un mot imprudent de Rosanette, sur Me Arnoux, achève de l’exaspérer – Il lui
crache à la figure qu’il n’a jamais aimé qu’elle.
Rosanette lui demande pardon – sanglotte, pleure, joint les mains
se traîne à ses genoux.
Mais il demeure insensible – persuadé que c’est à elle qu’il doit d’avoir
l’ [illis.]
perdu Me Arnoux – Il l’injurie. – la maudit. & s’en va –
l’invective
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— est-ce qu’il y a dans Paris une autre
que toi capable de ça. – » – parallèle entre les deux femmes – toute ta personne ne vaut pas
un cheveux de sa tête. c’est une honte. |
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Rosanette
Elle proteste de son innocence
il lui nomme Sénécal.
Elle nie — ce n’est pas moi qui le fait agir
— tu mens. preuves que Sénécal ne peut pas agir pr un autre qu’elle
Elle donne sa parole que ce n’est pas vrai.
— Je la connais ta parole ! » Il/Fr lui rappele ses amants
il y a des jours où il me plaît de fermer les yeux – Aujourd’hui
j’en ai assez. – on ne meurt pr des trahisons
d’une femme com moi. mais il est du devoir d’un
honnête homme de les d’arrêter des perfidies quand
elles s’adressent à qui vaut mieux que toi.
— Mais mon Dieu qu’est-ce qui me
l’a donc changé ? » elle se tord les
mains & pleure |
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SAWASAKI Hisaki |